Il pleuvait fort sur mon chemin,
Elle cheminait sans parapluie,
J’en avais un, volé, sans doute …
Un p’tit coin d’ parapluie,
Contre un coin d’ paradis.
Et je l’ai vu’, toute petite,
Elle avait quelque chos’ d’un ange …
Chemin faisant que ce fut tendre …
Je me suis fait tout petit devant cette poupée
Qui ferm’ les yeux quand on la bise,
J’étais un dur à cuire, elle m’a converti,
ET je suis tombé, tout chaud, tout rôti,
Contre sa bouche
Qui a des dents de lait quand elle sourit,
Je subis sa loi, je file tout doux
Sous son empire,
Je n’avais jamais ôté mon chapeau
Devant person…
Maintenant je rampe et je fais le beau
Quand ell’ me sonne.
Chemin faisant que ce fut tendre
D’ouïr à deux le chant joli
Que l’eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie !
J’aurais voulu comme au déluge,
Voir sans arrêt tomber la pluie,
Pour la garder sous mon refuge …
A qui ai-je emprunté ces mots ! Une bise à ceux qui trouvent ….
Photo d’un toile figurant à l’Exposition de mon atelier de peinture … C’est celle d’une amie !
Je vais vous faire partager mes coups de cœur ! Ce soir vernissage … Venez nombreux trinquer avec moi ! Depuis lundi déjà plus de 100 visiteurs ! Pas encore comptabilisé aujourd’hui mais on peut estimer que 200 vont s’ajouter vu les invitations que j’ai envoyé !!!
Ce n’est rien que quelques bouts de pain à partager avec vous ! Un peu de champagne à la manière d’un grand festin qui vous chauffera le corps et dans votre âme brûlera le souvenir d’un agréable moment !
Virtuellement vôtre ….
Un chouia de tout 
Bonjour Cindide !
Très sympa le tableau … inspiré par M. Georges !
Bon après-midi !
Pierre
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Un chanteur parolier et poète, qu ‘on ne peut que regretter, parce qu’ à part Duteil, il n’ a pas d’ émules
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tu sais que je suis allé sur sa pierre tombale
à Séte, exprès
une ballade lumière et mer bleue
et qu’avec çte chanson je draguais un max
les filles
ou « les sabots d’hélène »
ça les faisait Craquer
Et bibi ds l’auto se régalait des baisers
En ce temps là, le soleil d’Avril
faisait pousser des fleurs sauvages
et j’en offrais…
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… chanson d’un poète disparu…! et le tableau de ton amie est original… j’aime bien!
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Brassens, j’adore. Mais la toile…bof! ce n’est pas mon truc.
Pourquoi ces si petites têtes sur de si gros corps??? elle a un problème ta copine??? Hihi!
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Monsieur Brassens bien sûr, mais je préfère l’original du Poète.
J’aime beaucoup cette toile.
Bonne soirée
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Brassens évidemment… j’aime beaucoup ce tableau très original. Bisous
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les paroles de cette est chanson est de notre regretter BRASSENS quand a ton tableau il la représente très bien!!!gros bisous PEPETTE
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pas la peine de répondre les comm qui me précèdent l’ont fait…
« Le sac du ronin » n’existe plus… Désolé.
Seule une ombre persiste.
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BRASSENS! Le grand, le merveilleux Brassens!
La toile est de toi, alors chapeau ma belle, elle fait honneur à cette chanson que j’adore.
Bon vernissage
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Non cette toile n’est pas de moi mais d’une amie d’atelier !!! Merci ma petite corse …. Biz
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C’est beau l’amour ! mais l’amitié aussi et je regrette d’être trop loin pour pouvoir faire connaissance de tes amis artistes et partager avec toi le verre de l’amitié .
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Oh oui Brassens… Ah oui pas mal ce couple, on voit que c’est madame qui choisit le parapluie, assorti à sa tenue vestimentaire pardi… merci Anne, bel après-midi, bises de JB
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